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Les Black Hills,
terre sacrée pour les indiens et intégrée dans la réserve Sioux en 1868: les non-indiens n’y sont pas les bienvenus.
En 1874, le Lt. Col. George Armstrong Custer y conduit une expédition d’exploration et y découvre des gisements aurifères. Les autorités tentent d’abord d’endiguer
la vague des chercheurs d’or, avant de chercher à acheter les Black Hills aux Sioux.
En septembre 1875, les négociations avec les Sioux échouent et en novembre, le général Terry lance un ultimatum
au 31 décembre pour les chasser de leur territoire, par la force si nécessaire.
Au printemps 1876, trois colonnes convergent vers les Amérindiens.
La bataille de Little Bighorn,
connue des Indiens sous le nom de Bataille des herbes grasses et aussi communément appelée le dernier combat de Custer (Custer’s Last Stand),
est un affrontement armé entre les forces combinées des Lakota, du Nord Cheyenne et Tribus Arapaho et le 7ème régiment de cavalerie de
l’armée des États-Unis. La bataille, qui aboutit à la défaite des forces américaines, constitue l’action la plus importante
de la grande guerre des Sioux de 1876.
Elle se déroule du 25 au 26 juin 1876 le long de la rivière Little Bighorn dans la réserve indienne de Crow, dans le sud-est du territoire du Montana.
Cette victoire écrasante des Lakota, Nord Cheyenne et Arapaho, étaient dirigés par plusieurs grands chefs de guerre, dont Crazy Horse et le chef Gall,
inspirés par les visions de Sitting Bull.
Le nombre total de victimes est de 268 morts et 55 blessés graves.
Le matin du 29 décembre, les troupes de cavalerie américaines sont entrées dans le camp pour désarmer les Lakota.
Entre 250 et 300 hommes, femmes et enfants Lakota ont été tués et 51 blessés.
Au moins vingt soldats ont reçu la médaille d’honneur.
En 2001, le Congrès national des Indiens d’Amérique a adopté deux résolutions condamnant les récompenses militaires et exhorté le gouvernement américain à les annuler.
Le champ de bataille de Wounded Knee a été désigné monument historique national par le département de l’Intérieur des États-Unis.
En 1990, les deux chambres du Congrès américain ont adopté une résolution sur le centenaire historique exprimant officiellement leur "profond regret" pour le massacre.
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